Le fond de la mer est un lieu plein de mystères où vivent les êtres les plus étranges de notre planète. Certains doutent même que ces créatures puissent exister, principalement parce que la plupart d’entre elles semblent sortir d’un film de fiction. Alors, qui sont ces animaux qui peuplent nos abysses ?

Les créatures abyssales sont des êtres qui vivent à une certaine profondeur de l’océan, plus précisément dans les zones abyssales, qui sont des endroits que où lumière du soleil n’arrive pas et où la pression peut atteindre 76 MPa. Cette partie profonde des océans se trouve généralement à plus de 4 000 mètres de profondeur, avec des températures très basses.
- Objectif : mieux définir le covid long
- Méthodologie suivie sur près de 100 000 personnes
- Trois groupes de base
- De nouveaux outils pour la médecine
3 | Trois groupes de base
Le Covid long est marqué par de nombreux symptômes, notamment l’essoufflement, la fatigue, la fièvre, les maux de tête, une sorte de « brouillard cérébral » et d’autres problèmes neurologiques.
Objectif : mieux définir leurs origines
Ces créatures survivent dans des conditions très difficiles, avec des centaines de barres de pression, de petites quantités d’oxygène, très peu de nourriture, pas de lumière du soleil et un froid constant et extrême. Les créatures qui vivent dans ces régions ont subi des adaptations en fonction du temps.
Méthodologie suivie sur près de nombreux scientifiques

Pour réaliser cette étude, les scientifiques de l’Université du Colorado ont examiné les données démographiques des patients, l’utilisation des soins de santé (comme des consultations médicales), les diagnostics et les médicaments de 97 995 patients adultes atteints de Covid-19.
Ils ont utilisé ces informations, ainsi que des données sur près de 600 patients Covid longs, pour créer trois modèles d’apprentissage automatique pour identifier les patients Covid longs. Ces derniers étaient classés ainsi à partir du moment où ils présentaient des symptômes du Covid au moins 90 jours après leur contamination initiale.
« Les symptômes du Covid long sont subjectifs, et peuvent évoquer d’autres pathologies, il y a aussi des causes psychosomatiques » insiste le Dr Kierzek. « L’intérêt de ce type de travail est de déterminer au mieux cette pathologie, de pouvoir poser un diagnostic clair aux patients qui en souffrent et leur éviter une errance médicale ».
Trois groupes de base
Ces trois modèles créés ont donc regroupé : tous les patients touchés par le Covid-19, les patients hospitalisés avec Covid-19 et les patients avec Covid-19 mais pas hospitalisés. Les systèmes d’apprentissage automatique ont été lancés et ont classé les quelques 100 000 patients à partir de la base de données. Pour cela, les profils ont été croisés avec ceux qui correspondaient étroitement à ceux avec d’un Covid long, en recherchant leurs caractéristiques communes.